
Commotions cérébrales : Une investigation clinique menée chez les rugbymen
Si la neuro-inflammation joue un rôle important dans les maladies neuro-dégénératives comme Alzheimer, elle est également fortement présente dans les troubles secondaires aux commotions cérébrales. Face à ce constat, et en s’appuyant sur les preuves des effets anti-inflammatoires de son dispositif par émission triphotonique, REGEnLIFE a élargi l’application de sa solution aux commotions cérébrales liées au sport. Objectif ? Réduire l’inflammation neurale consécutive à l’impact violent sur les régions du cerveau.
« Les premiers résultats sont prometteurs. Une étude de plus grande envergure permettra de confirmer l’efficacité de la solution développée par REGEnLIFE, et ainsi de démontrer qu’elle constitue l’un des traitements mis à disposition du sportif amateur ou de haut niveau, aussi bien pour améliorer les troubles consécutifs au choc que pour éviter l’évolution, en cas de commotions répétées, vers l’encéphalopathie chronique post-traumatique », avance le Professeur Jacques Touchon, neurologue et président du conseil scientifique de REGEnLIFE.
La première investigation dans ce domaine, Recovery, est une étude pilote – prospective, comparative, en simple aveugle, randomisée, monocentrique – conduite à l’hôpital européen George Pompidou à Paris. Démarrée fin 2022, l’étude a évalué la sécurité, la facilité d’emploi et la performance du système REGEnLIFE auprès de 52 joueurs de rugby atteints de commotion cérébrale aiguë, lorsqu’il est appliqué moins de 72 heures après le choc. Les joueurs ont été traités, à l’aide d’un casque spécialement conçu, au cours de deux séances de thérapie de 20 minutes à sept jours d’intervalle, puis ont été suivis pendant 45 jours.

