Dispositifs pour la recherche clinique
RGn600 : un dispositif médical non-invasif innovant utilisant la neurostimulation par photobiomodulation.
REGEnLIFE est en mesure de mettre à disposition ses dispositifs pour la recherche clinique et notamment le RGn600, premier dispositif médical ciblant le cerveau et l’intestin pour traiter la neuroinflammation et améliorer la cognition.
Vous êtes chercheur, clinicien, porteur de projet scientifique et désireux de mettre en place des protocoles d’étude clinique visant à évaluer l’efficacité du RGn600 dans différents contextes pathologiques dont notamment les troubles neurodégénératifs, neurologiques ou psychiatriques ?

La neurostimulation est l’un des axes les plus dynamiques des neurosciences cliniques.
REGEnLIFE a pour objectif de contribuer aux progrès de la recherche en neurologie en mettant à disposition, à des fins d’investigations cliniques, sa technologie innovante : le RGn600, 1er dispositif médical de neurostimulation ciblant le cerveau et l’intestin pour traiter la neuroinflammation.
Le RGn600 est un dispositif médical non-invasif basé sur la photobiomodulation (PBM). La PBM utilise la lumière rouge ou proche infrarouge pour traiter la neuroinflammation en stimulant les cellules cérébrales et intestinales.
Mécanisme d’action de la PBM :
Le dispositif médical de REGEnLIFE basé sur la PBM a déjà montré des résultats d’efficacité lors d’études précliniques ou cliniques, dans plusieurs pathologies dont notamment la maladie d’Alzheimer, la commotion cérébrale, la dépression et la sclérose en plaque (voir références scientifiques).
D’autres études précliniques et cliniques sont actuellement en cours.
RGn600 est une solution sûre, simple et efficace.
RGn600 : un dispositif médical utilisable en établissement de santé et en soin ambulatoire
RGn600 est une technologie photomédicale de neurostimulation non-invasive conçue pour être facilement utilisée par les investigateurs d’études en établissement de santé ou en soin ambulatoire.
La technique tri-photonique utilise la PBM associée à un champ magnétique statique (SMS) délivrés avec précision, par un casque et une ceinture abdominale, de conception ergonomique, vers les zones ciblées du cerveau et de l’abdomen.
L’unité de contrôle mobile dispose d’une interface utilisateur conviviale permettant une configuration de paramètres de stimulation (intensité, fréquence, durée), tout en restant facilement transportable.
La portabilité constitue en effet un critère déterminant dans le développement du RGn600. Son architecture concilie efficacité thérapeutique, ergonomie et réduction du poids et l’encombrement de l’appareil notamment à l’hôpital mais aussi pour des applications à domicile, en mobilité ou dans des environnements de recherche hors laboratoire.
Caractéristiques du traitement RGn600 :

Personnalisation
Les dispositifs cliniques REGEnLIFE : une conception modulaire flexible, personnalisable et évolutive pour s’adapter aux besoins de la recherche
Les dispositifs médicaux pour la recherche clinique REGEnLIFE sont modulaires afin d’allier flexibilité d’utilisation, personnalisation thérapeutique et précision du traitement. En effet, le casque et la ceinture abdominale (RGn600) sont composés de plusieurs modules indépendants interconnectables pouvant être ajoutés ou retirés. Ces dispositifs modulaires permettent d’individualiser le traitement par neurostimulation en ajustant le nombre et la position des modules en fonction des individus et des cibles thérapeutiques visées.
D’autre part, la configuration logicielle des dispositifs cliniques permet de piloter et d’adapter les protocoles de neurostimulation par PBM aux besoins spécifiques des travaux de recherche. Les programmes préétablis sont ainsi personnalisables par l’investigateur. Les paramètres modifiables sont :
- Le type de laser
- Les types de composants optiques
- Les longueurs d’onde
- L’irradiance
- Le mode continu ou pulsé et le rythme des émissions de PBM
- La durée du traitement
La modularité des dispositifs REGEnLIFE et l’optimisation des paramètres permettent ainsi d’ajuster les protocoles selon les besoins de recherche et les résultats neurophysiologiques observés.
